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Caisson Optic Kartell
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KartellKartell

Caisson Optic avec porte

Eco-part
Dont écotaxe :
Réf. : KAR3510

Design: Patrick Jouin

Existe en : cristal, jaune, violet, rouge, fumé, noir ou blanc opque.

 Matière : Polycarbonate coloré dans la masse. 

 Dimensions : h : 41 cm, l: 41 cm, P: 41 cm

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  • Cristal
  • Ambre
  • Fumé
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Description

Objet d'émotion : un cube à facettes transparent et miroité qui, grâce à un étonnant jeu de couleurs et de reflets, crée une atmosphère spéciale. Optic est un conteneur réalisé en PMMA et disponible en deux versions : avec battant ou ouvert sur un côté. La surface est rehaussée de pyramides à base carrée légèrement en relief qui, grâce à la surface miroitée ou transparente, créent un effet optique surprenant. Optic est un cube de 41 x 41 x 41 cm qui offre de nombreuses combinaisons possible. Vous pouvez placer plusieurs Optic côte à côte, les empiler ou les disposer de façon à créer des compositions linéaires. Selon la quantité et la disposition, ils se prêteront à divers usages et apporteront une touche de charme à votre intérieur.

Patrick Jouin

Patrick Jouin est né à Nantes, le 5 juin 1967. Diplômé de l'Ecole nationale de création industrielle (Ensci) en 1992, le designer crée son agence en 1998, dans le XIe arrondissement parisien, devenue, au fil des projets, une référence sur la scène internationale. Patrick Jouin s'y distingue par une création raffinée et parfois audacieuse : le créateur assemble les tenons et les mortaises de sa production sur le plan mental avec la même élégance, la même dextérité qu'il en organise l'agencement matériel. Jamais les dispositifs de Patrick Jouin ne sont une énonciation directe : pas d'allégorie, encore moins l'annonce d'un temps nouveau qui s'incarnerait dans les objets ou dans un espace. Mais l'artiste n'est pas non plus dans la posture d'abandon ou d'humilité qui mettrait à distance sa production. Ici c'est une esthétique, une histoire qui sont transmises dans un processus qui refuse de jeter les formes inventées par le XXe siècle aux oubliettes. Il peut paraître insolite de prétendre trouver une sensibilité mélancolie dans les hauts lieux de la modernité, au coeur de la société de consommation, dans le noeud vital de cette société qu'est le design. Il faut pourtant bien accepter que la modernité génère ses propres récits, ses propres mythes. Plus elle avance et développe sa logique implacable, plus elle suscite aussi un retour sur elle-même et un regard sur un monde industriel disparu, porteur de l'utopie de la maîtrise de la machine, un monde heureux et vitaliste. Patrick Jouin ne cherche pas à restaurer un passé pré-moderne mais puise précisément dans la culture industrielle, des formes manifestes qu'il insère, massives mais comme invisibles - parce que décontextualisées puis réinterprétées - dans un univers fort éloigné, celui du luxe. Il s'agit d'une esthétique qui rapatrie des formes incongrues pour les faire jouer en dissonance, s'éloignant ainsi de la réalité plate et prosaïque du monde contemporain où tout se confondrait dans une indifférenciation immédiate.Patrick Jouin déploie une sensibilité formelle industrielle qui par touches s'immisce sur d'autres terrains. Le designer sélectionne des formes issues de la grosse machinerie industrielle - haut-fourneau, turbine, cheminée, module, moule, série, forge - pour les intégrer par fragments parfois monstrueux, parfois discrets, tantôt fantomatiques dans le monde chic et feutré du luxe. Cette greffe vise à déborder ce monde-là, comme activité séparée, institutionnalisée ou ornementale et offre de contempler l'espace de la grande industrie comme source de beauté étrange. C'est donc au sein de la tension entre deux univers - celui de l'usine et celui du luxe - que doit se chercher le sens et la beauté de ce travail, dans la dynamique d'échanges en miroir entre ces deux pôles. Il faut lire ces espaces comme un corps à corps entre deux mondes. Les temps et les univers semblent contractés, superposant temps de travail et temps d'oisiveté ce travail, dans la dynamique d'échanges en miroir entre ces deux pôles. Il faut lire ces espaces comme un corps à corps entre deux mondes. Les temps et les univers semblent contractés, superposant temps de travail et temps d'oisiveté, formes usinières et esthétique du luxe. Le mythe d'un âge d'or de l'industrie devient, alors, un dispositif contemplatif. Un travail qui exploite l'imaginaire du XXe siècle par le fragment, comme forme au service de la nostalgie d'une unité perdue.

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